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La vie d'avant.

 

Chapitre I.

 

Le père.

 

        Maelys et Pauline deux jeunes filles de douze ans sont deux cousines très complices. Pauline vie chez sa tante Laetitia et sa cousine, Maelys, depuis l'âge de huit ans, car elle a perdu ses parents lors de l'écroulement de sa maison.

Son père est sorti avec plusieurs blessures grave qui lui ont coûté la vie quelques moi plus tard, et sa mère a plongé dans un comma de long mois. Avec les conseils des médecins, ils ont du la débrancher au bout de presque huit mois car il y avait seulement trente % de chances pour qu'elles se réveille, elles ont toutes les trois décider de mettre fin a cette souffrance incontinue.

Un jour ou les deux filles rentrent de l'école, elles trouvèrent Laetitia dans un état lamentable ; elle était en pleure, entourer de morceau de verres. Celle-ci avait les bras en sang, les filles lui demandèrent des explications.

-C'est ton père. Dit-elle en parlant à Maelys. Il est venu comme à chaque fois que vous etes toutes les deux en cours, cette fois il ma harceler.

-Pourquoi vient-il quand je ne suis pas là demanda t-elle énervée.

-Tout simplement parce qu'il ne veux pas te rencontrer et qu'il n'assume  pas son rôle de père.

-Pourquoi fait-il tout sa, et pourquoi vous a-t-il abandonné ? Questionna Pauline

-Parce que c'est un gros con

-Maelys, ne parle pas ainsi de ton père s'écria sa mère.

-Cet homme n'est pas mon père et ne le sera jamais. S'énerva de plus belle Maelys en sortant de la caravane.

Pauline sorti de la caravane a son tour et alla calmer sa cousine.

-Maelys, comprends ta mère, elle est encore amoureuse de lui ce n'est pas de sa faute. Ce n'est pas  la fautive dans cette histoire.

-Ha, parce que c'est la mienne peut-être ?!

-Non, je n'ai pas dit sa, j'ai simplement dit que ce n'est pas sa faute donc calme-toi.

-Oui ta raison, je devrais aller m'excuser au prés d'elle ?

-Oui, vasy.

Elle partie vers la caravane, elle ouvrit la porte et entra.

-Excuse-moi maman je n'aurai pas du dire ça.

-J'accepte tes excuses ma chérie, mais tu avais raison.

Elles se serrèrent dans les bras, et dire à Pauline de se joindre a elles.